
Cette roquette allait toucher soit les gratte-ciels du Centre Azrieli, soit le Kirya [l'équivalant israélien du Pentagone], ou une gare du centre de Tel Aviv. Des centaines de personnes auraient pu mourir. Nous avons tiré une première roquette d’interception. Elle a raté sa cible. Une seconde. Elle a également raté la cible. C’est quelque chose de très rare. J’étais sous le choc. À cet instant il ne restait que 4 secondes avant que la roquette du Hamas ne s’écrase. Nous avions déjà ordonné aux services de secours de converger vers ce que nous avions annoncé comme étant le lieu d’une catastrophe grave impliquant un nombre important de victimes.

Je l’ai vu de mes propres yeux. Ce n’est pas quelque chose qu’on m’a dit ou rapporté. J’ai vu la main de Dieu envoyer cette roquette dans la mer. D’autre part, à la fin du mois de juillet, le colonel Ofer Winter, dirigeant la brigade d’infanterie Givati, a décrit un brouillard mystérieux qui les a favorablement couverts, lui et ses troupes, alors qu’ils avançaient sur une position ennemie à la lueur du matin, après que leur raid nocturne ait été postposé. Le colonel a appelé le phénomène « les nuages de la Gloire ». Comme disait Ben-Gourion: « Celui qui ne croit pas aux miracles en Israël, n’est pas un réaliste ».
Source : Europe-Israel