Le monde à l’envers ! La pseudo « justice internationale » pourchasse les victimes et affranchi les bourreaux.
En novembre 2024, la Cour pénale internationale (CPI) a délivré des mandats d'arrêt à l'encontre du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et de l'ancien ministre de la défense Yoav Gallant pour « crimes de guerre et crimes contre l'humanité » perpétrés dans la Bande de Gaza.
Israël est également poursuivi devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour « crime de génocide ».
Après qu’un soldat israélien a fui le Brésil, du fait d’une plainte à son encontre pour « crimes de guerre », certains médias ont publié un « guide » à destination des soldats de Tsahal en voyage à l’étranger. De leur côté, les autorités israéliennes s’organisent pour parer à ce type d’incident.
Yuval Vagdani a fui le Brésil dimanche, où les autorités avaient lancé une instruction à son encontre pour « crimes de guerre présumés ».
Alors que des organisations pro-palestiniennes tentent d'arrêter et de poursuivre pour crimes de guerre des soldats israéliens désengagés à l'étranger, les Forces de défense israéliennes ont décidé mercredi de tenter de dissimuler l'identité de tous les soldats qui participent aux combats.
En vertu des nouvelles directives de Tsahal pour les médias, toute interview de soldats de moins de 18 ans au grade de général de brigade se fera avec le visage flouté ou de dos, et leur nom complet caché.
Les officiers supérieurs au-dessus du grade de général de brigade, ou les officiers dont les noms sont déjà publics, seront autorisés à montrer leur visage et leur nom complet lors des interviews.
Et avec tout ça, pas un mot sur le Hamas et les atrocités du 7 octobre, ni sur les otages retenus dans des conditions épouvantables. Rien sur le Hezbollah et ses tirs de roquettes incessants depuis un an et demi. Rien sur les dirigeants de l’Iran et leurs tirs de missiles sur Israël.
Tout va bien dans le meilleur des mondes.