
On peut réagir de plusieurs manières à ces décrets. Certains comme Mickael Oren, de Koulanou, appellent au boycott des produits européens, déjà en Israël… (même le beurre Président !). C’est une façon de pointer du doigt leur bêtise. D’autres préfèrent aller lutter sur place par des campagnes de « Hasbara » : un peu de lumière dans un monde obscur.
Ce qui est sûr, c’est que ce genre de décisions racistes et anti israéliennes ne servent en rien la « paix », au contraire. D’abord les entreprises, pour la plupart, sont en train de se délocaliser et donc de renvoyer tous leurs employés arabes. Merci l’Union Européenne, bien pensé ! De plus en tournant le dos à Israël, l’Europe lui a permis d’accélérer sa conquête des marchés émergents, comme ceux de la Chine ou de l’Inde. Finalement, même si le dommage peut se ressentir à court terme, il ne peut qu’amener du renouveau et de l’espoir pour l’avenir économique des entreprises israéliennes. Comme d’habitude, le jour où elle réalisera sa terrible erreur, l’Europe ne pourra plus faire marche arrière, elle n’en n’aura plus le courage, ni le pouvoir.
Sa politique de « deux poids deux mesures » récurrente a fait du vieux continent, à quelques exceptions près, un acteur négligeable pour une éventuelle solution.
Au moment où nous subissons une guerre sans merci, voilà que ceux que l’on croyait nos partenaires contre le terrorisme ont un comportement inverse. Au lieu de montrer du doigt nos agresseurs, ils étiquettent des étoiles jaunes sur nos produits. Au lieu de prôner le dialogue entre les populations, ils incitent plus encore à la haine, entretenant le chaos.
Essav n’a toujours pas digéré le plat de lentilles que Yaakov lui a proposé contre le droit d’aînesse. Et les européens non plus…
Hodesh tov. La lumière est au bout du tunnel.
Source : jssnews.com