Un nouveau rapport de l’ONU accuse Israël de porter atteinte à la capacité de reproduction des Palestiniens, d’utiliser la violence sexuelle, d’imposer une famine délibérée et de transférer de force la population de Gaza
Nous avons préparé pour vous un bref examen des faits évidents qui réfutent facilement les accusations horribles de cette organisation internationale clairement biaisée contre l’armée la plus morale du monde.
Un nouveau rapport de la Commission d'enquête internationale de l’ONU accuse Israël d’avoir commis de graves violations pendant les combats à Gaza, y compris des atteintes à la capacité de reproduction des habitants de l’enclave et l’utilisation de la violence sexuelle comme stratégie de guerre. Le rapport, publié aujourd’hui (jeudi), affirme que les actions d’Israël constituent des crimes contre l’humanité et pourraient même être qualifiées de génocide. Israël rejette catégoriquement ces accusations, les qualifiant de falsifiées et infondées.
Les principales accusations du rapport de l’ONU et les réfutations
Atteinte à la capacité de reproduction
Accusation de l’ONU : Le rapport affirme qu’Israël a délibérément ciblé les infrastructures sanitaires des femmes à Gaza, entraînant une atteinte à la capacité de reproduction de la population. Il est allégué que la destruction des hôpitaux et les restrictions d’accès aux équipements médicaux visaient à empêcher les naissances, un acte défini par l’ONU comme un génocide.
Réfutation : Cette affirmation ignore totalement le fait que le Hamas a transformé les hôpitaux de Gaza en centres de commandement militaires, stockant des armes et utilisant les installations médicales comme boucliers humains. De nombreux documents de Tsahal prouvent que des tunnels terroristes ont été découverts sous des centres médicaux, notamment l’hôpital Al-Shifa.
Israël a déployé des efforts considérables pour minimiser l’impact sur la population civile, en ouvrant des couloirs humanitaires et en transférant du matériel médical via les points de passage, mais ces initiatives ont été entravées à plusieurs reprises par le Hamas, qui s’est emparé de l’aide et l’a détournée à des fins militaires.
Utilisation de la violence sexuelle
Accusation de l’ONU : Le rapport accuse les forces de sécurité israéliennes d’avoir recours à la violence sexuelle contre les habitants de Gaza, y compris des déshabillages forcés en public et des agressions sexuelles comme moyen de répression après l’attaque du 7 octobre.
Réfutation : Il n’existe aucune preuve tangible pour étayer cette affirmation, qui repose sur des "témoignages anonymes" non vérifiés. Contrairement à ces accusations, Israël est l’un des rares pays à mener des enquêtes internes strictes sur tout soupçon de comportement inapproprié de ses soldats (voir l'affaire de Shedei Teman).
De plus, le rapport omet complètement de mentionner les violences sexuelles brutales commises par le Hamas contre les Israéliennes lors de l’attaque du 7 octobre, bien qu’il existe des preuves et des documents clairs à ce sujet.
Famine délibérée de la population de Gaza
Accusation de l’ONU : Israël appliquerait une politique délibérée de famine en bloquant l’accès à la nourriture, à l’eau et à l’aide humanitaire.
Réfutation : Israël a permis l’acheminement de l’aide humanitaire vers Gaza via les points de passage de Kerem Shalom et Rafah, mais cette aide a été systématiquement confisquée par le Hamas et utilisée pour approvisionner ses combattants et ses dirigeants.
Transfert forcé de la population civile
Accusation de l’ONU : Israël aurait forcé les civils à se déplacer dans le cadre de sa stratégie militaire, provoquant une crise humanitaire massive.
Réfutation : Contrairement à cette affirmation, Israël a prévenu les habitants à l’avance des zones à évacuer afin d’éviter les victimes civiles. Tsahal a utilisé des moyens sans précédent – appels téléphoniques, SMS et cartes détaillées – pour guider les civils vers des zones sûres. La responsabilité de la crise humanitaire à Gaza incombe uniquement au Hamas, qui non seulement a empêché les civils de fuir, mais a également utilisé la violence contre ceux qui tentaient de partir.
Destruction d’infrastructures civiles et d’hôpitaux
Accusation de l’ONU : Israël aurait bombardé des hôpitaux, des écoles et d’autres infrastructures civiles en violation du droit international.
Réfutation : Le rapport ignore le fait que le Hamas utilise ces bâtiments à des fins militaires, comme l’ont prouvé de nombreux cas. L’hôpital Al-Shifa, par exemple, servait de quartier général militaire du Hamas, tout comme plusieurs établissements scolaires. Les frappes israéliennes ont visé exclusivement des objectifs militaires, conformément au droit international.
Réaction d’Israël : "Un rapport biaisé, une calomnie moderne"
Israël a vivement réagi à ces accusations. Dans un communiqué de la délégation israélienne à l’ONU à Genève, il est déclaré : "Ce rapport est biaisé, infondé et contraire à la réalité sur le terrain. Toute tentative de présenter Israël comme un criminel relève d’une calomnie moderne."
Sur le compte X officiel du ministère des Affaires étrangères israélien, il est écrit :
"À propos de la calomnie publiée par la 'Commission d’enquête' : c’est l’un des pires cas de diffamation que le monde ait jamais vus (et il en a vu beaucoup). Elle accuse les victimes des crimes qui ont été commis contre elles. Le Hamas est l’organisation qui a perpétré des crimes sexuels atroces contre les Israéliens. C’est un document scandaleux que seule une organisation antisémite comme l’ONU pouvait produire."
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a également réagi au rapport de l’ONU contre Tsahal et Israël concernant la guerre à Gaza :
"Le cirque anti-israélien appelé 'Conseil des droits de l’Homme' de l’ONU est depuis longtemps révélé comme un organe antisémite, corrompu, pro-terroriste et non pertinent." Il a ajouté : "Ce n’est pas un Conseil des droits de l’Homme – c’est un Conseil des droits du sang."
Source :now14