Le Choul'hane Aroukh, au siman' 125 et au se'if 1 indique que, lors de la Kédoucha, le Tsibbour ne dit pas en même temps que le Chalia'h Tsibbour, "Naqdishakh" (et la suite, bien entendu), mais se tait et écoute avec Kavana ce que dit le Chalia'h Tsibbour.
Cependant, dans Mishna Berura 2.3, il est dit que certains sont "meqilim" à ce sujet. Or, il arrive la plupart du temps que le Chalia'h Tsibbour est complètement couvert à ce moment-là par le Qahal, qui s'époumonne à qui mieux mieux pour dire "Naqdishakh".
Le Gaon de Vilna, dans "Ma'assé Rav", au siman' 44 est catégorique : "Neqaddésh" ou "Na'aritsakh", jusqu'à "ve-amar", n'est dit que par le Shaliakh Tsibbur uniquement et le Tsibbur se tait écoute la Qedushah de la bouche du Shaliakh Tsibbur.
La pratique décrite ci-dessus existant également indistinctement dans les communautés ashkénaz, séfarad et hassidiques, quelle position adopter pour enseigner ce qui correspond à ce qu'écrit le Me'haber ?
Pour ma part, je me tais.
Avremele le Nudnik.
Cependant, dans Mishna Berura 2.3, il est dit que certains sont "meqilim" à ce sujet. Or, il arrive la plupart du temps que le Chalia'h Tsibbour est complètement couvert à ce moment-là par le Qahal, qui s'époumonne à qui mieux mieux pour dire "Naqdishakh".
Le Gaon de Vilna, dans "Ma'assé Rav", au siman' 44 est catégorique : "Neqaddésh" ou "Na'aritsakh", jusqu'à "ve-amar", n'est dit que par le Shaliakh Tsibbur uniquement et le Tsibbur se tait écoute la Qedushah de la bouche du Shaliakh Tsibbur.
La pratique décrite ci-dessus existant également indistinctement dans les communautés ashkénaz, séfarad et hassidiques, quelle position adopter pour enseigner ce qui correspond à ce qu'écrit le Me'haber ?
Pour ma part, je me tais.
Avremele le Nudnik.