Le Choulh'ane Aroukh Orah 'Haïm chap. 108, traite du problème du rattrapage de la 'Amida. Dans le par. 8, une grande souplesse est donnée la-bas sur la possibilité de rattraper une 'Amida perdue pour raisons diverses.
Par exemple si je suis occupé à une affaire et que je dois repousser ma tefila, le Michna Béroura nous precise qu'il faut le faire sans mépris en se disant "je dois la faire au plus tôt", et non en se disant "maintenant je suis occupé, la tefila on verra aprés".
Au printemps en France, la nuit tombe très tard. Il arrive qu'on soit obligé de prier arvit seul à la maison. Et que le sommeil nous gagne. Il n'est pas fait mention de la Kavana a avoir à ce moment-la. En effet, si je m'endors je sais tres bien qu'il y a de fortes chances que je ne me reveille qu'au petit matin (les nuits tombant non seulement très tard, mais étant également très courtes !).
Il est donc difficile d'accorder un quelconque crédit à une Kavana du type "je dois la faire au plus tôt" dans ce cas-là. Comment gérer cette situation complexe ?
Par exemple si je suis occupé à une affaire et que je dois repousser ma tefila, le Michna Béroura nous precise qu'il faut le faire sans mépris en se disant "je dois la faire au plus tôt", et non en se disant "maintenant je suis occupé, la tefila on verra aprés".
Au printemps en France, la nuit tombe très tard. Il arrive qu'on soit obligé de prier arvit seul à la maison. Et que le sommeil nous gagne. Il n'est pas fait mention de la Kavana a avoir à ce moment-la. En effet, si je m'endors je sais tres bien qu'il y a de fortes chances que je ne me reveille qu'au petit matin (les nuits tombant non seulement très tard, mais étant également très courtes !).
Il est donc difficile d'accorder un quelconque crédit à une Kavana du type "je dois la faire au plus tôt" dans ce cas-là. Comment gérer cette situation complexe ?