Chers Rabbanim,
Ma question concerne les détecteurs de présence qui déclenchent l'allumage dans les hall et palliers. Vous avez traité la question N° 39 à ce sujet.
Ma question vient faire préciser un point : quand on ouvre un frigidaire avec une lampe, elle s'allume toujours et c'est un "Psik Réché" (réalisation d’un travail interdit le Chabbate de façon non intentionnelle quand le résultat est inéluctable), si j'ai bien compris.
Quand on ouvre une porte et qu'on entre dans le pallier ou le hall, il arrive qu'un voisin s'y trouve, qu'il y ait déjà de la lumière et donc on ne déclenche pas toujours l'allumage. Est-ce que ce serait un cas de
"Davar Ché Eno Mitkavèn" (réalisation d’un travail interdit le Chabbate de façon non intentionnelle quand le résultat n’est pas inéluctable) ? Si oui, est-ce que cela ne rendrait pas la chose plus permise?
KOL TOV et merci d'avance pour votre réponse.
Ma question concerne les détecteurs de présence qui déclenchent l'allumage dans les hall et palliers. Vous avez traité la question N° 39 à ce sujet.
Ma question vient faire préciser un point : quand on ouvre un frigidaire avec une lampe, elle s'allume toujours et c'est un "Psik Réché" (réalisation d’un travail interdit le Chabbate de façon non intentionnelle quand le résultat est inéluctable), si j'ai bien compris.
Quand on ouvre une porte et qu'on entre dans le pallier ou le hall, il arrive qu'un voisin s'y trouve, qu'il y ait déjà de la lumière et donc on ne déclenche pas toujours l'allumage. Est-ce que ce serait un cas de
"Davar Ché Eno Mitkavèn" (réalisation d’un travail interdit le Chabbate de façon non intentionnelle quand le résultat n’est pas inéluctable) ? Si oui, est-ce que cela ne rendrait pas la chose plus permise?
KOL TOV et merci d'avance pour votre réponse.