Le mémorial de l'holocauste qui vous parle

Le mémorial de l'holocauste de Miami. Le plus poignant par son réalisme. L'horreur nazie y est palpable à chaque création de l'artiste qui voulait transcender cette barbarie de l'être le plus évolué.


Vue aérienne du site du mémorial de l'holocauste de Miami en Floride. Le projet a été conçu par un comité des survivants de la Shoah en 1984.

Un jardin de la méditation Le jardin est composé d'une grande place de la pierre de Jérusalem, un étang d'eau de 200 pieds de diamètre lys, et une colonnade classique semi-circulaire et tonnelle ... le tout sur une toile de fond d'une forêt de palmiers vert dense.

Certains artistes représentent l'Holocauste que dans les dimensions de ses horreurs avec du béton, du métal et des barbelés. J'ai élargi le thème d'un jardin paisible et sereine ... dédié à la mémoire de la belle culture européenne et de ses six millions d'âmes juives ... maintenant perdu.

Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort je ne crains aucun mal car Tu es avec moi (Téhillim 23)

Une mère et son enfant se dirigeant dignement et résolument vers les chambres à gaz

Recherche d'une hypothétique fuite vers l'espoir qui sera pour des millions d'êtres qu'un rêve futile et surréaliste.

Cri de la faim, de la détresse et du désespoir.

L'humiliation et la faim représentaient le lot quotidien de ces êtres décharnés, enfermés dans une prison à ciel ouvert: le ghetto de Varsovie.

Le cri de la faim: Les enfants juifs du ghetto démunis de tout. S'ils avaient la moindre chance de manger ce n'était qu'une miche de pain rassis et trouvée dans la main d'un de leur congénères mort dans la rue.

Les morts gisaient par centaines dans les rues du ghetto. Qui aurait pu s'en apercevoir?

Se retrouver dans les dédalles de l'enfer.

Se réconforter mutuellement dans l'abime de l'horreur.

Sauvez mon enfant!

La détresse se lit sur le visage du père qui essaye de sauver son enfant, seul lien qui le lie avec ce monde de désolation.

Dernier regard porté par un père qui se dirige vers son destin: la mort